Reseñas

Hagetmau : La présidence vole le triomphe à Lilian Ferrani

6 novillos de La QuintaPosada de Maravillas : oreille et oreille - Lilian Ferrani : oreille et salut - Joaquin Galdos : salut et 2 oreilles

Lilian Ferrani (oreille et silence) prit d’abord un superbe berrendo lucero bien reçu au capote avant deux piques sans grande histoire puis un excellent quite de Galdós. Brindis à l’assemblée et entame décidée par derechazos jusqu’au centre où il allait exécuter plusieurs séries sur le bon tempo et avec élégance. Toujours au centre, la suite sera variée, avec cites inversés et excellents remates avant final par le haut  puis entière après une première tentative a recibir. L’Arlésien a reçu à son tour un trophée, une récompense qui selon moi aurait pu être doublée... Bon capoteo encore pour recevoir le quinto, bien piqué en trois fois par Nicolas Bertoli. Brindis à Tibo Garcia puis début par le haut jusqu’au centre, aguantant sous la menace pour exécuter plussieurs séries volontaires face à un bicho qui jouait du chef et se retournait vite. Face à cet opposant qui s’avéra le plus compliqué de l’envoi, Ferrani réalisa somme toute un trasteo méritoire, toutefois un peu terni par la conclusion. (Torofiesta)

Lilian Ferrani est le grand perdant du jour. Très bien à la cape dans des véroniques lentes, dessinées à la perfection, il attaque une faena sur la main droite avec des séries qu’il remate par d’impressionnants pecho. Avec une muleta très basse, il impose rapidement un rythme très lent à sa faena et prend plaisir à faire durer les figures. De temps à autre, une trinchera vient enluminer le travail. Un premier trophée largement mérité… Aussi lorsqu’il affronte le cinquième qui va revenir trois fois sous le fer, on voit la grande porte se profiler. Sa faena commence sur la main gauche… Mais progressivement, « Tiburino », qui a sûrement laissé trop de forces sous le cheval, va aller à menos, privant Lilian d’un nouveau succès. Dommage. (Torobravo)


Istres : Lilian Ferrani et Andy Younes triomphateurs de la novillada des fêtes

2 novillos de Fano et 4 novillos de Fernay y HijasLaury Tisseur : salut et oreille - Lilian Ferrani : oreille et oreille - Andy Younes : 2 oreilles et 3 avis

Le novillo sorti en seconde position accusa quelques signes de faiblesse dès les premiers capotazos de Lilian Ferrani. Légère ration de fer. A l'ultime tercio, devant cet animal noble, il réalisa une faena plaisante, même si quelques passages furent saccadés. Il conclut par une série de passes aidées vers le haut, avant de loger une épée se révélant atraversada. Oreille. Lilian salua son second par des veroniques templées conclues par une demie. Il amena son novillo par chicuelinas marchées pour une unique rencontre avec la cavalerie. Il entama le dernier tercio, comme souvent, par cambios millimétrés. Son novillo, vite éteint et sans transmission, ne se prêtait guère au triomphe. Qu'à cela ne tienne, Lilian, empli de volonté, réussit à construire une faena, parachevée par une entière en place. Oreille. (corridafrance)


Tarascon : Oreille et blessure

6 novillos de Pagès-Mailhan. Lilian Ferrani : oreille et blessure - Andrés Roca Rey : 2 oreilles, 2 oreilles et 2 oreilles - Joaquin Galdos : oreille et vuelta al ruedo

Lilian Ferrani accueillit son premier novillo par véroniques avant que celui ci ne prenne une monopique. Quite de l'Arlésien par chicuelinas conclues par deux medias. Après un brindis au public, il initia sa faena par des cambios millimétrés au centre du ruedo. Dans un prestation appliquée, il tira le maximum d'un Pages Mailhan à demie-charge. Il termina son combat par une série de naturelles de trois quart de face de bon goût avant de loger une entière après un pinchazo. Oreille. Lors de la réception de son second novillo à porta gayola, Lilian se fit vilainement bousculer, accusant une blessure au niveau du thorax l'empêchant de pouvoir continuer la lidia. Son Pages Mailhan, quant à lui, sauta dans le callejon quelques secondes plus tard. (corridafrance)


Vauvert, 1er Trophée José Maria Manzanares

6 novillos de El Pilar. Lilian Ferrani : oreille et vuelta al ruedo - Manolo Vanegas : oreille et 2 oreilles - Ginés Marin : silence et oreille

Lilian Ferrani salua son premier novillo à porta gayola, enchaînant par véroniques et demie. L'utrero prit deux légers puyazos. Après une entame avec une série de cambio au centre, il trouva le bon sitio face à ce noble exemplaire, toréant avec goût. Il embarqua son opposant dans de longues tandas douces, templées, sur les deux bords. Une entière fit logiquement tomber la première oreille de la tarde. Face à son second à la morphologie imposante, l'Arlésien se montra très convaincant. L'utrero vite arrêté dans la muleta ne permit pas au novillero de s'exprimer complètement. Il tira le maximum de son adversaire, lui arrachant de valeureux muletazos. Il se fit soulever spectaculairement à plusieurs reprises lors de l'entrée a matar miraculeusement sans conséquence, avant de placer une entière concluante. Vuelta après une pétition d'oreille refusée par la présidence. (corridafrance)

Lilian Ferrani (oreille et vuelta) a connu un après-midi douloureux, mais somme toute positif. Il accueillit son premier a portagayola et se montra décidé sur les capotazos qui suivirent. Deux rencontres avec la cavalerie et après un bon second tercio, l’Arlésien brinda à l’assistance une faena débutée au centre par trois cambios avec par la suite des enchainements harmonieusement cadencés des deux côtés, au son de la Concha Flamenca. Bonnes réponses du bicho, final au plus près et entière. Lilian prit ensuite l’éléphant du troupeau qui poussa sur la première rencontre avant une suivante plus anecdotique. Du pur XXL qu’il fallut ensuite contraindre à suivre le leurre malgré son regard avisé, ce que parvint à faire Lilian par séries courtes et volontaires entrecoupées cependant d’une spectaculaire voltereta. Autre accrochage au moment de porter l’épée. Son entrega et l’effort fourni face à cet adversaire de respect aurait pu lui valoir une récompense, mais le palco resta insensible à la pétition. On en a vu pourtant ici ou là accordées pour bien moins que ça… (Torofiesta)

Des trois novilleros, on pourra dire que deux ont joué le jeu, Lilian Ferrani et Manolo Vanegas, le troisième piqué au vif par le succès du second se réveillant un peu à la fin pour affirmer son statut de figura de la catégorie.
Lilian Ferrani accueillit son premier de rodillas a porta gayola, une suerte qui aurait pu lui coûter une cogida sans un écart judicieux au moment opportun. Suivirent quelques véroniques avant deux rencontres au cheval pour la forme. Début de faena par alternance de passes hautes et de passes cambiadas, puis une faena de style classique alternant les deux bords, ornementée de détails de bon goût, un changement de main par ci, une trincherilla par là, pour finir par les traditionnelles circulaires inversées que tous les toreros ont dans leur registre. Heureusement Lilian n’en abusa pas. Faena propre qui sans attendre les sommets se révéla relativement agréable à suivre. Entière contraire et oreille.
L’imposant quatrième fut reçu par correctes véroniques et ne fut pas plus châtié que le premier, le premier fer étant cependant enfoncé en arrière du point d’impact normal. Nouvelle faena ambidextre de l’arlésien avec cette fois un manque de liaison entre les passes, le garçon se voyant dans l’obligation de solliciter davantage l’animal. Petit épisode de tension avec Lilian qui chuta devant le Pilar et se fit bousculer, heureusement sans mal. Demi-lame, nouvelle chute et re-bousculade, toujours sans mal. San Fermin à l’honneur tras los montes devait avoir un oeil vers chez nous. Entière en place et petite pétition non validée par le palco. Vuelta. (Torobravo)


Madrid : Una vuelta en la ONU

6 novillos de Aguadulce (1º y 3º) y José María Aristrain. Desiguales de hechuras pero todos muy astifinos. Deslucidos y sin raza con la excepción del manejable cuarto. Luis Gerpe : silence et vuelta al ruedo - Tomás Angulo : silence et silence - Lilian Ferrani : silence et silence


"Lilian Ferrani ha sido silenciado en su debut en Madrid. Lo hizo tras reponerse de una horrible voltereta cuando toreaba de muleta al tercer novillo de Aguadulce, manso y malo y muy astifino. No tuvo opción el joven espada, más que de mostrar su valor tras ser cogido. El festejo acabó en tono gris. El sexto fue otro ejemplar de poco juego, con hechuras cercanas al tipo de una vaca, que no tuvo raza ni poder. Tampoco humilló. La faena de Lilian Ferrani pasó sin eco." (mundotoro.com)

"De Aguadulce fue el tercero, un ejemplar deslucido y complicado. Se presentaba el francés Lilian Ferrani que fue cogido feamente y de manera aparatosa durante su faena. Sin estar herido, se incorporó para firmar una labor sin brillo. Mucho tesón. Pinchazo hondo y dos descabellos. El sexto, deslucido y bajo de raza, embistió con la cara alta. El francés anduvo mucho tiempo delante de él en una labor intrascendente." (aplausos.es)


Arles, Feria de Pâques 2015 : Lilian Ferrani ouvre la grande porte


6 novillos de Rehuelga, très bien présentés. Jilguero, le cinquième exemplaire qui portait le n°6, a été récompensé d'une vuelta al ruedo posthume. Martin Escudero : silence et applaudissements Lilian Ferrani : oreille et 2 oreilles - Ginés Marin : salut et silence 



"Le grand triomphateur, moral et numérique, fut donc le français Lilian Ferrani, face au meilleur lot, certes, mais dont il sut profiter de la bonté en offrant ce qu'il a à donner : de l'enthousiasme, de la volonté, et un temple notable qu'il semble avoir approfondi durant sa longue absence. En coupant trois oreilles il s'est signalé aux organisateurs français. Se souviendront-ils de lui ? Il faut l'espérer." (Terres Taurines)

"Le novillero Lilian Ferrani s'est offert la première Grande Porte de la Feria d'Arles 2015 après avoir coupé trois oreilles de ses deux novillos de la ganaderia Rehuelga. Certainement plus limité techniquement que ses deux compagnons de cartel, le jeune arlésien a largement compensé ce handicap de départ en se montrant à la hauteur de l'évènement : en intervenant au quite ; en allant accueillir son deuxième adversaire face au toril, genoux en terre ; en osant un recibir pour arracher les deux oreilles de son second... Bref, en se montrant novillero et en en manifestant la nécessaire fraîcheur. (...) Lilian Ferrani a pris sa revanche sur le sort, devant son public, après la grave blessure qui l'a privé de paseos la saison dernière. Son premier opposant prit une première pique en brave avant de conserver cette bravoure dans la muleta de l'arlésien, chargeant à mi-hauteur mais avec beaucoup de douceur surtout sur le piton droit. Une belle estocade et la première oreille tombait dans son escarcelle. Le cinquième était le novillo de la course. Piqué lourdement sur deux rencontres, il gardait toutefois une belle mobilité dont profitait avec bonheur Lilian Ferrani qui ouvrait la faena sur deux passes changées millimétrées. Au moment suprème, le novillero basculait sur la charge du toro mais devait en finir au descabello, ce qui ne l'empêchait pas d'en obtenir les deux pavillons." (corridafrance)

"Alors qu'il réapparaissait suite à la grave blessure qu'il subit l'an dernier au campo au cours de cette matinée d' démontra deux choses: que cette cornada fait désormais parti des mauvais souvenirs et qu'il faudra compter sur lui. Il toucha le meilleur lot d'une novillada santacolomeña de Rehuelga de laquelle on attendait beaucoup plus mais qui lui permit d'hausser le ton, de présenter sa candidature et demander une place dans les cartels. Triomphe important de Lilian, que ni Ginés Marín ni Martín Escudero con ne purent suivre dans le succès à cause de lots beaucoup moins propices.

Le novillero local Lilian Ferrani qui réapparaissait après sa grave blessure de l'an dernier coupa une oreille très méritée face au deuxième Rehuelga de la matinée. Un novillo qui se déplaçait à sa guise sans humilier sur la corne droite. Sur la gauche il fut plus compliqué. Grand coup d'épée. Une oreille. Lilian Ferrani alla recevoir le cinquième avec beaucoup de conviction à sa sortie du toril. Il débuta sa faena par des passes changées dans le dos avant de lui sortir des bonnes séries de derechazos. Les meilleures séries  arrivèrent sur la corne gauche. Le novillo se laissa faire sur chaque cornes avec la même tonique que ses frères c'est à dire sans humilier et à sa guise. Lorsque l'animal chercha refuge aux planches, Lilian acheva sa faena par redondos avant de l'occire d'un recibir. Deux oreilles et vuelta al ruedo au Rehuelga." (mundotoro)


Arles : Lilian Ferrani coupe une oreille face à son second toro



4 novillos de Las Dos Hermanas et 2 novillos de Piedras Rojas (les 1° et 3°), magnifiquement présentés, de jeu intéressant et varié. Les 4° et 5° exemplaires ont été récompensés d'une vuelta al ruedo posthume. César Valencia : oreille et vuelta - Francisco José Espada : silence et deux oreilles - Lilian Ferrani : silence et oreille

"Lilian Ferrani reçut son premier a portagayola puis larga afarolada de rodillas avant capoteo décidé. Deux bonnes piques de Jacques Monnier puis brindis à l’auditoire d’un trasteo irrégulier comprenant quelques mouvements gauchers méritoires. Échec aux aciers. Avec l’ultime, bien entrepris au capote, puis qui prit deux bonnes piques, l’Arlésien brinda encore au public avant trois cambios au centre puis des échanges décidés sur les deux rives, mais à engagement et transmission variables. Estocodón qui a largement contribué à l’octroi d’un pavillon." (Torofiesta)


Riscle : Lilian Ferrani marque les esprits



6 novillos de Pablo Mayoral, de présentation très sérieuse mais arrêtés et manquant de fond. Rafael Cerro : silence et silence - Vicente Soler : silence et oreille- Lilian Ferrani : oreille et vuelta


"Après un capoteo décidé face à son premier client d’ascendance Escolar Gil puis une pique rectifiée, Lilian Ferani alla brinder à Stéphane Fernandez Meca, l’organisateur, avant de se lancer dans des séries convenables et décidées jusqu’à ce qu’il soit sérieusement averti. Changeant de côté, il s’aperçut alors que le piton gauche était plus exploitable et distilla plusieurs naturelles ajustées,une par une, qui furent les meilleurs moments de cette tarde. Des séquences frappées au sceau de l’entrega et de l’aguante, rematées par entière qui libéra un pavillon... qui n’avait rien de complaisance ! Avec l’ultime, après une pique poussée bien dosée par Jacques Monnier, le bicho changea au second tercio, se rapprochant des planches et affichant quelques mauvaises manières. Lilian repartit alors au combat avec encore une belle volonté dans un ensemble forcément plus décousu, pinchant une fois avant de faire une vuelta chaleureusement applaudie. Un novillero qui a donné envie de le revoir après cette sortie plutôt positive, d'autant plus qu'il n'en était, après Rieumes et Lunel, qu'à sa troisième novillada piquée…" (Torofiesta)


"L’après-midi, le club taurin « Le Tendido risclois » avec la complicité de Stéphane Fernandez-Meca nous invite à une fort belle découverte, les Santa Coloma de Pablo Mayoral. L’histoire d’un passionné de l’élevage et de ses sangs d’origine. Au célèbre Santa Coloma, il a rajouté la caste Vasqueña. Le toro de Pablo Mayoral est une exception dans l’élevage qui se rapproche désormais de la lignée Buendia. Un toro très mobile et agressif mais qui en novillo se départit rarement de sa noblesse. Pour le cartel, le club a puisé dans les meilleurs éléments du moment… Rafaël Cerro qui vient de couper une oreille à Séville et qui l’an dernier avait participé à 17 novilladas et coupé 19 oreilles. Vicente Soler sera à ses côtés un des garçons les plus en vue du moment que l’on a vu triompher dans les nombreuses grandes ferias. Tous les deux se battent autour de la dixième place de l’escalafon. Au milieu d’eux, Lilian Ferrani, le jeune Français, paraît un peu frêle, mais il a toujours su s’imposer. Il trouve à Riscle l’excellente opportunité de se faire remarquer en bousculant deux géants de la novillada. Riscle la Feria de l’Adour ne manque pas d’attraits." (ladepeche.fr)


Lunel : Une oreille à son second toro



6 novillos de Pagès-Mailhan, bien présentés, nobles mais manquant de transmission. Borja Jimenez : vuelta et vuelta - Fernando Rey : oreille et applaudissements - Lilian Ferrani : silence et oreille

"Lilian Ferrani a trouvé fort à faire pour la deuxième novillada piquée de sa jeune carrière. Le jeune arlésien s'est montré volontaire tout au long de la tarde, appliquant à la lettre les consignes parfois contradictoires qui lui parvenaient de l'autre côté de la barrière... Il s'entendit rapidement avec son premier, un poil faiblard, qu'il toréa élégamment à mi-hauteur avant une vilaine atravesada, trois pinchazos et un descabello... Le novillo de clôture était plus exigeant. Après l'avoir salué d'une larga de rodillas, l'arlésien mit un peu de temps à lui trouver la distance. Mais lorsque ce fut fait, il put lier quelques séries intéressantes avant entière basse après pinchazo et oreille d'encouragement pour le régional de l'étape. A noter une belle paire de banderilles de Christian Romero, chaleureusement applaudi." (corridafrance)


Rieumes : Présentation en novillada piquée



7 novillos de Couto de Fornilhos (le 7ème a été offert par les organisateurs de la feria et fut toréé par Vicente Soler), tous de présentation très sérieuse. Borja Jimenez : silence et oreille - Vicente Soler : salut, 2 oreilles et ovation - Lilian Ferrani : silence et vuelta

"Gravement blessé en janvier dernier lors d’un entrainement, le débutant en novillada piquée, quasiment novice à ce niveau (débuts en mars 2013), l’arlésien Lilian Ferrani tombe sur un 3° manso et fade de peu d’intérêt, décasté et faible. Les efforts répétés du français furent vains et il dut écouter un silence. Son second (le 6°), Indianao, reçut deux picotazos qui lui laissèrent une certaine vivacité. Vivacité qui permit à Lilian Ferrani de montrer tout le relief de son répertoire : varié, enchainant quelques séries qui avaient fières allures donnant envie de le revoir avec plus de métier. Quand à la vivacité du bicho, cette dernière fit passer un sale moment au français lors de l’estocade (au deuxième essai). Accroché, il fut trainé au sol, heureusement par la chaquetilla. Lilian Ferrani se contenta d’une vuelta. Il faut aussi être objectif et dire que ses deux entrées a matar furent excellentes, notamment la deuxième où il ''entré comme un canon'', plaçant une entière qui, au-delà du fait qu’elle lui ait coûté une voltereta, méritait à elle seule à mon sens plus qu’une vuelta." (torobravo)